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Le Vieux & Catherine Destivelle : Une histoire de montagne commune !
Parisienne, j’ai toujours été fidèle au Vieux pour mes chaussons et mon matériel. C’est là que tout a commencé. Puis, j’ai fait la connaissance de Jacques Yves (Ndlr : Jacques-Yves de Rorthays, président-directeur général du Vieux Campeur), qui m’a toujours épaulée dans mes expéditions.

Le Vieux fait partie intégrante de mon univers, du monde de la montagne et de l’escalade. C’est l’incontournable. C’est une histoire de cœur. Jacques-Yves a toujours été loyal, fidèle, comme moi. J’ai été sollicitée par d’autres, mais je n’ai jamais pensé à regarder ailleurs. C’était une parole, pas besoin de contrat.

Vivre de ma passion a été possible grâce au Vieux Campeur, comme Paris Match d’ailleurs. Deux partenaires essentiels dans mon parcours.

Et puis on ne va pas “un peu” au Vieux Campeur, on y va toute une après-midi. C’est comme aller dans un musée ou un magasin de bonbons, un plaisir pur et simple. C’est ça, Au Vieux Campeur pour moi !

Quelle a été par la suite votre histoire avec l’entreprise ?
Un peu comme un rendez-vous régulier avec un vieil ami. On se retrouve,Jacques-Yves et moi, au 48 rue des écoles et je mange avec lui à la Roma (pizzeria préférée et ami de la famille De Rorthays) . Encore samedi, je mangeais une omelette au fromage avec lui.

Le Vieux, c’est aussi un des seul endroit où j’accepte de donner des signatures. Au Vieux Campeur avant tout !

Le mot de la fin ?
Gardienne d’un partenariat solide avec le “Vieux” et forte de projets innovants, Catherine continue aujourd’hui encore de marquer l’histoire de l’alpinisme de son empreinte. Des cimes rocheuses aux sommets éditoriaux, elle incarne l’esprit de la montagne. Entre souvenirs d’enfance et exploits solitaires, chaque page de sa vie est un récit d’audace. Au Vieux Campeur, témoin et acteur, partenaire fidèle de cette épopée verticale est fier de son parcours unique et de son engagement fidèle.